Critique:

Las Vegas est une ville ou peut vraiment tourner n'importe quel style de film, des cambriolages, des braquages, des jeux et de bonne grosses rigolades, avec un enterrement de vie de garçon apocalyptique. L'histoire de ce film est tout bête, Doug est a l'aube d'un changement crucial dans sa vie, il vas se marier !!! Et que fait on en Amérique avant un mariage ? Ont enterrent la vie de garçon du futur marié. Donc lui, son beau-frère Alan, ainsi que Phil et Stu ses deux potes, partent à pour Las Vegas, avec la Mercedes du beau-père qui lui dit bien que ce qui se passe a Vegas RESTE a Vegas !!!!

C'est sympa car on rentre vite dans le vif du sujet, Phil le beau gosse joué par Bradley Cooper prévient la copine de Doug qu'a quelques heures du mariage, ils ont paumés son mari !!! Ainsi passé ce court prologue on découvre les personnages et on file à Vegas qui nous permet d'assister a la cuite ultime, pour ensuite les voir enquêter sur leur mémoire disparue. Le film profite largement des personnalités masculines du film, faisant ainsi la part belle a la complicité qui c'est forgés entre eux, pour avoir profiter de la sincérité dans leur façon de jouer et cela marche a merveille !!!! L'humour du film est à la hauteur de leur déconvenue, c'est à dire en dessous de la ceinture, Ed Helms qui joue Stu se marrie avec une strip-teaseuse, il vole une voiture de police, se font tazer, pénètre chez Mike Tyson par effraction et vole son tigre ... j'en passe et des meilleures, par contre cela peut rebuter certain (c'est compréhensible), pour ma part je n'ai pas vu le temps passer, c'est drôle, incorrect, débile, de la pure détente et le générique de fin irrévérencieux à souhait.

Le casting d'inconnu est terriblement bon, les seul que je connais un tout petit peu c'est Justin Bartha (Doug) qui a joué dans les deux Benjamin Gates, il n'est pas trop mis en avant vu qu'il disparait les 3/4 du films, ensuite le nouveau beau gosse qui monte Bradley Cooper un talent et un charme inné c'est certain, Zach Galifianakis est extra, le plus décalé des quatre, limites dangereux et malsain parfois, il reste Ed Helms celui qui semble le plus coincé en apparence mais qui est tout aussi drôle, je le redis pour être sur d'insister c'est l'harmonie et la complicité qui se dégage entre eux qui fait la différence.

Sortie en salle le 24 Juin 2009