Man on Fire

by - avril 08, 2013


MAN ON FIRE
Réalisé par Tony Scott
Sortie en salle le 13 Octobre 2004

Synopsis:

Le Mexique est en proie à une vague d'enlèvements sans précédent. Face au danger, certaines familles aisées engagent des gardes du corps pour assurer la protection rapprochée de leurs enfants. C'est dans ce contexte lourd de menaces que débarque à Mexico l'ancien agent de la CIA John Creasy. Appelé par son vieil ami Rayburn, ce dernier se voit proposer un job inattendu : bodyguard de la petite Pita Ramos, fille de l'industriel Samuel Ramos. La fillette, précoce, pleine de curiosité et de vitalité, insupporte John par ses questions personnelles. Pourtant, au fil des jours, Pita parvient à percer ses défenses. Après bien des années, celui-ci retrouve le goût de vivre. C'est alors que Pita est kidnappée. Bien que grièvement blessé, Creasy se lance à la poursuite des ravisseurs. Inflexible, il remonte la piste, se jurant de retrouver sa protégée.


Critique:

On m'a souvent dit que Man on Fire c’était le film a voir de Tony Scott, venant même de personne qui ne l'aime pas trop. Dans ces cas la, je me suis dit il doit être pas mal, donc des que j'ai eu l'occasion j'ai pris le temps de l'acheté et de le regarder.

Avant d'être adapter par Tony Scott, "Man On Fire" est une nouvelle de A.J Quinell sortie en 1981. D'abord porté a l'écran par Elie Chouraqui en 1987, l'histoire se passait dans la Mafia en Italie, mais la production en a décidé autrement et de transposer l'histoire au Mexique car l'Italie, la mafia et tout le folkore attaché leur paraissait clichés, c'est donc a Mexico que l'histoire ce déroule. Dans un pays ou les enlèvements sont légions, les gardes du corps ont la cote et ces a la descente de l'avion que Paul Rayburn récupère son amis Creasy, ancien agent de la C.I.A. Par l'intermédiaire de Rayburn, Creasy obtient un emploi de garde du corps au prés des Ramos, pour surveiller leur jeune fille, la petit Pita, tout d'abord indifférent a la jeune fille, Pita percera cette carapace, jusqu'au jour ou elle est enlever que lui est laisser pour mort … Convalescent, abattu, il part dans une quête sourde et violente pour venger la mort quand il apprend le décès de la jeune fille qu'il gardait

Meme si l'histoire reste plutôt basique, Tony Scott arrive a bien la développer, a apporté de l'épaisseur a son histoire car le film n'est pas qu'un simple film de vengeance, cet aussi un film sur la rédemption, sur un homme qui cherche une raison a sa vie, on voit cela a travers les yeux de Creasy, qui traîne pas mal de casseroles lourdes a porter et grâce au personnage de Dakota Fanning, il recommence a croire aux autres mais surtout en lui. La réalisation dynamique, très stylisé a l'aspect graphique particulier de Tony Scott sied a merveille a cet élan de furie cristallisé par Denzel Washington, une vengeance violente, malsaine, sans aucun regret pour ceux qu'il élimine de façon assez varié quand au twist final il est a la hauteur du film, oscillant entre soulagement et grande tristesse, un récit qui tient toute ses promesses

Je commencerais d'abord avec Dakota Fanning qui était une petit fille a l'époque montrant déjà je trouve quelle avait un certain caractère, car le film en soi est assez violent et cette innocence incarné par Fanning rends le film plus doux mais aussi plus dur, une actrice qui a du talent a revendre; ce qui n'est plus le cas de Denzel Washington car lui sont talent il a vendu, revendu ..., c'est avec grand plaisir qu'on l'apprécie dans ce film, le voir ce transformé en justicier sans peur et implacable d'une crédibilité effrayante; j'ai aimer aussi la prestation de Christopher Walken, a la fois discrète et puissante; l'incorruptible Giancarlo Giannini, le monolithique Marc Anthony en père pas très inquiet et Radha Mitchell qui joue la maman éploré, puis Mickey Rourke et sa tronche décalqué incarne un avocat pas très net.

C'est du tout bon, ces du tout Scott

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10 commentaires

  1. La photo et les tics de Scott me dérange toujours autant, mais c'est mon préféré du cinéaste. Une histoire de vengeance brûlante comme l'enfer et pourtant réaliste (les enlèvements au Mexique comme dans le reste de l'Amérique du Sud sont plus que fréquents). De plus, Washington trouve un rôle sensible qui change de ses rôles un peu trop propres. On notera également l'ami Walken toujours aussi bon et Dakota Fanning qui se révèle touchante.

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    1. Je comprends les réticences que tu as avec Scott, ces légitimes, mais pour moi sa resteras un gars qui avait son style !!!
      Et rien de tel que Man On Fire pour l'apprécier

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    3. Héhéhé heu Désolé Borat j'ai supprimer ton commentaire par erreur, désolé :(

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    4. Toi tu es un mauvais garçon comme dirait Al Pacino dans Scarface!

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    5. Vraiment désolé, ce qui est con c'est qu'on ne peut pas le récupérer

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  2. Je pense surtout qu'ils ont évité de placé l'intrigue dans la mafia Italienne car ce n'est plus d'actualité. Sinon, je te suis sur ce film : une excellente production avec une excellente distribution. Mais il faut adhérer à la réalisation (ce qui, perso, est mon cas).

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    1. Je ne sais pas, la Mafia, les parains, l'Italie et tout ce qui tourne autour c'est un peu réchauffé, mais bref l'histoire fonctionne comme elle est ... Entièrement d'accord, un style qui faut aimer et moi j'adhère comme toi

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  3. Extrêmement efficace, ça manque sans doute un poil de subtilité notamment dans le profil des personnage... 3/4

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