Avis de Cecile:

Un matin de repos je me suis extraite de mon lit et des bras de mon amoureux pour aller voire ce film. c'est dire comment on l'imaginait beau! Avant tout La bande musicale qui reprend quelques hits des années 90 aurait pu y intégrer popular de nada surf, c'était fait pour! L'histoire de la reine du bal qui tombe de son pied d'estale... ça avait tout pour me plaire! J'aime pas les reines de bals. Mais la tout est imprégner d'aigreur de mesquineries même pas drôles . Ce qu'on attendait ironique et complètement barré et finalement très politiquement correcte! La belle fille méchante partira seule dans sa grande ville laissant le joli couple s'aimer dans la jolie petite ville! Mais la belle fille a le droit d'être égo centrée car elle a une vie palpitante a « little apple » et les autres dans leurs trous n'ont plus qu'a être gentils....  Je n'ai pas retrouvé ce qu'y m'avait plu dans dans thank you for smoking; ou juno. Et les métaphores a la truelle qui mettent en parallèle la vie de Mavis et ses bouquins pour ado; voire avec sa voiture qu'on a toujours pas fini d'analyser ou de comprendre me laissent insensible; ce film est aimé par les critiques et incompris par ma petite personne

Avis de Frédéric:

Jason Reitman est un réalisateur que j'apprécie, chacun de ces films est assez réjouissant, on a droit a des thèmes très percutants, mais au final des résultats qui ne se valent pas, autant j'apprécie « In the Air » et « Juno » que je préfère toujours « Thank You For Smoking » donc ces avec curiosité que j'appris son nouveau long métrage et que j'y embarqua m'a chérie vers une séance de 11H15 au grandes attentes qu'était les miennes.

Mavis est un écrivaine de 30 piges a peu prés, qui vit une situation dissolue, sans âme, sans vitalité, enfermé dans une routine très destructrice, nègre d'un auteur a succès de roman pour jeune adulte elle aurait la vie rêvés de beaucoup de gens, mais elle semble coincés 15 ans en arrière et l'arrivée d'un mail de son ancien grand amour de jeunesse vas réveiller en elle des envies bizarres. La naissance du bébé de son amis lui font dire que son ex Buddy Slade veut la revoir, ce qui ne la gène pas d'y aller pour mettre le bordel dans la vie de quelqu'un. Mavis part faire un retour dans le passé, sur les traces d'amour gâché et d'une jeunesse qu'elle n'a jamais quitté, ce qui ne se feras pas sans heurt et grande désillusion.

C'est la première fois qu'un film de Reitman me laisse perplexe, mais dans le sens décevant du perplexe, j'avoue que tout ses autres films bénéficiez d'un scénario qui percute vraiment, sa fuse dans tous les sens même si dans son dernier sa marche un peu moins. Le scénario de Diablo Cody commence bien, on sent la femme décalé, avec une vie morose, triste qui veut ruiner celle des autres, tout ensuite dans la mise en scène de Jason Reitman appuis cette solitude, ce coté enfant mais des qu'elle est dans sa ville natale cela tombe a plat, on tombe dans le cliché de sitcom, elle se mets a flirter gentiment sans allez trop loin, le geek de base deviens son amis et son coté de pompom girls capricieuse agace, le coté acide de ce film disparaît brusquement, le personnage de Mavis en devient pathétique, détestable, mais heureusement que la fin, plus saignante (crise de nerf comprise) relève le goût d'un ensemble vraiment moyen. La réalisation de Jason Reitman sans être flamboyante se mets en adéquation avec son personnage, classique pour représenté une vie morne et triste; les seconds rôles sont hélas très fade, mis a part Patton Oswalt qui excelle dans ce rôle de petite voix censé tempérer Mavis, on ne rit que très rarement ce qui est dommage et au final pas grands chose a retenir si ce n'est la brillante performance de Charlize Théron .

Parlons en de cette beauté fatale, un talent énorme pour un film moyen, Charlize Théron est peut être le seul argument valable pour allez voir ce film, garce est son deuxième prénom dans ce film ou le fait de se dégrader ne la gêne absolument pas, c'est assez fort de la voir être une si jolie dépressive, le teint blafard, la mine basse, ou chaque attirail masque son manque de fraîcheur, c'est un cocktail détonnant qui évite l'endormissement devant ce film; en dessous d'elle le pétillant Patton Oswalt qui a l'air moins con qu'il n'y paraît, il arrive a nous faire attacher a son personnage, marqué par la vie; ensuite les zombies, Patrick Wilson qui ne sait pas quoi faire a part sourire béatement, Elisabeth Reaser la desperate housiwes extraordinaire, qui joue dans un groupe et apprends les sentiments a des enfant en difficulté, quel femme; a coté d'eux on trouve aussi Colette Wolfe, Jill Eikenberry, Richard Benkins ....