Bullitt

by - février 11, 2013





BULLITT
Réalisé par Peter Yates
Sortie en salle le 17 Mars 1969

Synopsis:

Bullitt, un lieutenant de police, est chargé par un politicien ambitieux de protéger Johnny Ross, un gangster dont le témoignage est capital dans un procès où est impliqué l'homme politique. Malgré les précautions prises par Bullitt et ses hommes, Ross est grièvement blessé, puis achevé sur son lit d'hôpital. Bullitt s'aperçoit alors que la victime n'était pas le vrai Ross...





Critique:

« Bullit » ou Boullit pour les intimes est un film qui ne semble pas prendre une ride, déjà que l'un de mes meilleurs amis l'avait vu, moi je m'en fichais, mais bien des années plus tard, le film est toujours la, dans les têtes de tout le monde, même dans Boulevard de la Mort on y fait référence, ces donc sur une chaîne que je ne regarde pas souvent (Voir jamais) que je découvre « Bullit » réalisé par Peter Yates.

« Bullit » avant d'être un film, ces surtout un roman, un livre écrit par le romancier américain Robert L. Pike sous le titre de « Mute Witness », histoire vraiment très simple mais diablement scénarisé par Harry Kleiner et Alan Trustman. Bullit est un lieutenant de police a l'air sévère, séducteur mais très efficace, rien ne saurait le détourné de sa mission, a savoir protéger un gangster qui doit témoigné, tout en subissant les pressions d'un politicien. Malgré sa vigilance, le témoin est touché, grièvement blesser et décède peu de temps après, Bullit abattu ne s'avoue pas vaincu, gardant caché le cadavre, il continue son enquête, a la sueur de son front, lancé a pleine vitesse dans les rues de San Francisco, pour trouver les assassins.

Comme quoi fut une époque ou les comédiens imposés leur choix, c'était le cas pour « Bullit », Steve McQueen impressionné par le précédent film de Peter Yates, qu'il lui confia les rennes de ce film. Peter Yates une fois en place, il pourra toujours compter sur le soutien de Steve McQueen et personne ne le regrette, d'une le rythme du film, enlevé, spectaculaire, absolument bien mené, bien aidé par le scénario sur une durée très courte, un environnement magnifié par la superbe photographie de William A. Fraker, la ville de San Francisco plus belle que jamais, Lalo Shifrin encore a la manœuvre avec une bonne composition, puis il ne serait pas correct d'oublié la poursuite, « The » poursuite qui a servi de modèle a toute les autres, nerveuse, intense, vu a la 1er personne, utilisation de bolide, les magnifiques Dodge Charger R/T 68 et la Ford Mustang Fastback GT390, plan larges permettant de voir a quel point cela pouvait aller vite, bref 10 minutes de folie.

Equipé d'une tete d'affiche aussi puissante que son regard, j'ai nommé l'excellent Steve McQueen, flic incorruptible, froid, distant mais donc l'efficacité n'est plus a prouvé, une façon de joué vraiment bonne, tout dans le regard, la gestuelle, jamais un flic n'aura été aussi expressif; Robert Vaughn lui tiens la dragée haute, ce n'est pas un méchant mais un politicien avec tout ce qu'il peut y avoir de pourris dedans, coup bas, messe basse, une belle prestation; on peut voir aussi Jacqueline Bisset, Simon Oakland et Robert Duvall ...

Boullitt sa déménage, une intrigue simple, mais terriblement bien raconté

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4 commentaires

  1. Une intrigue franchement simpliste mais complètement contrebalancé par le rythme effreiné, Steve McQueen dans son rôle culte et puis cette poursuite monumentale parmi mes préférés.

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  2. Très bon film mais il y a pleins de fautes d'orthographe :s

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    1. Je suis preneur de bon conseil mr anonyme !!! Même si j'essaie d'en faire le moins possible

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