Réalisé par Lee Tamahori

Sortie en salle le 20 Novembre 2002

Synopsis:

Une opération secrète, menée en Corée du Nord par James Bond et deux de ses hommes, est compromise par un traître non identifié. S'ensuit une course-poursuite en hovercraft au cours de laquelle le colonel nord-coréen Moon trouve la mort et son lieutenant, Zao, est grièvement blessé. James Bond est quant à lui capturé et jeté dans une prison militaire. Après quelques mois de détention, ce dernier est libéré à l'occasion d'un échange de prisonniers organisé par Falco, le directeur de la National Security Agency. Démis de ses fonctions, l'ancien agent secret est décidé à retrouver Zao et à démasquer le traître qui a entraîné sa chute. Sa quête, riche en rebondissements, l'amènera à faire la rencontre de la belle et mystérieuse Jinx et de Gustav Graves, un mégalomaniaque propriétaire d'un somptueux palais de glace islandais et d'une arme d'une puissance insoupçonnée.

Critique:

Meurs un autre jour, Meurs un autre jour, Meurs un autre jour, c'est un sacré titre, a la fois percutant et très philosophique, mais aussi ennuyeux car je ne vois pas le rapport de pres ou de loin avec le scénario, bref passons.

Depuis que Pierce Brosnan est double 007, ces films soufflent le chaud et le froid, autant Goldeneye développait une intrigue toujours porté sur la guerre froide, l'ex U.R.S.S et les relations internationales, James Bond était toujours égal a lui même, avec quelque gadget en plus, on prolonge le plaisir dans Demain ne Meurt Jamais ainsi qu'avec Le Monde ne Suffit pas.

Bond bénéficie avec Pierce Brosnan d'un interprète charismatique, un subtil mélange venue d'Irlande, fusion des meilleurs whisky écossais et anglais, gardant le flegme de Sean Connery et l'humour de Roger Moore. Son Jeu d'acteurs est efficace est brillant en général, sauf dans celui-ci, ou il en fait des tonnes et une moue par ci, un rictus par ci, en tout cas malgré cela, il assure toujours les scènes d'actions, bien que je ne suis pas sur qu'il est fait toute ces cascades, car il se fait vieux ; son alter-ego féminin apparaissant en clin d'œil a la première James Bond Girl (Honey Rider/Ursula Andress), sortie d'eau lancinantes et couteau a la hanche, Halle Berry est simplement magnifique, par contre une espionne aussi sexy, me semble vraiment poussée sinon elle est athlétique, svelte et maniant le pistolet avec efficacité; les méchants . . . reste des méchants mais ils sont ici encore plus mégalomanes et frapadingue, fait marquants la transformations du Colonel Zao en Gustav Graves que j'ai du mal a avaler tellement que je trouve cela invraisemblable.

Le Réalisateur de ce James Bond 20 ème du nom, néo-zélandais, Lee Tamahori a du laisser tout le talents a Peter Jackson, je suis méchant, non, réaliste hélas, Lee a pourri ce film d'une surenchère d'effets spéciaux, de scènes d'actions surréalistes, des gadgets poussé a l'extrême de l'innovation, voiture invisible, satellite captant la lumière du soleil, un palais de glace, la thérapie génétique, un générique signé Madonna ainsi qu'une apparition en prof d'escrime, en gros tout un tas de choses bien cool qui font rire, mais en aucun moment ne se révèlent tous utiles, on dirai presque du Michael Bay en vraiment moins bon.