The Mask

by - juin 09, 2012




THE MASK
Réalisé par Chuck Russell
Sortie en salle le 26 Octobre 1994

Synopsis:

Stanley Ipkiss, modeste employé de banque, passionné par l'univers de Tex Avery, trouve un masque ancien aux pouvoirs surnaturels. Il est néanmoins partagé entre devenir cette créature verte sûre d'elle ou rester le timide Stanley Ipkiss, incapable d'aborder la magnifique chanteuse de cabaret Tina Carlyle.


Critique: 
"Canon hein ???"

Je tient la, LE meilleur film de Chuck Russell que j'ai vu, c'est l'histoire 
d'un masque mais pas celui de son fils, chaque personne porte un masque mais c'est une métaphore, on vas voir si c'est juste une métaphore. Un masque que porte Ipkiss au quotidien, un masque de naiveté qui fait que l'on profite de ces faiblesses, raillé par ces collègues, engueulés plus que de raison par sa logeuse, il n'en peu plus, seul son auto-dérision le sauve. Un soir après s'être fait refoulé du Coco Bongo, il croit voir un corps dans l'eau, il se jette et tombe sur un masque. Il rentre chez lui, tombe sur émission qui parle de masque, trouvant cela stupide il s'apprête a le jeter quand il voit que le masque brille, il l'approche de sa tete est le masque le possede, Ipkiss devient un espèces de génie a la peau verte qui est tout le contraire d'Ipkiss, ce qui vas lui changer la vie. 

The Mask est une adaptation cinématographique d'un comics crée par Mike Richardson, Randy Stradley, Mike Badger, John Arcudi et Doug Mahnke avait écrit un concept légèrement différent, le masque était toujours la, mais celui qui le portait devait devenir un anti-héros extrêmement violent, mais pour le film les effets en sont atténué, cela tient compte de la personnalité de la personne et fait ressortir le vrai visage de celui qui le porte, ironique quand on parle d'un masque.

Chuck Russel livre ici un film plein et maitrisé, hommage vibrant a l'univers de Tex Avery, collectionnant les clins d'œil, c'est tout bonnement hilarant quand le mask hurle a la mort dans le club, des gags a la pelle et inventif, tout comme les effets spéciaux qui pour l'époque (1994) te laisser le cul sur la chaise. Le chien Milo même si il ne fait que remuer la queue et aboyer, c'est fou ce qu'un chien peut faire; puis aussi c'est un film ou on apprécie la présence a l'écran de Cameron Diaz, une bombe anatomique, elle fait potiche mais quel charme j'en suis dingue dans ce film; mais le top reste le numéro incessant de Jim Carrey qui s'en donne a cœur joie, une vrai pile électrique révélant ainsi des talents de danseurs insoupçonnés.

C'est drôle, c'est bien fait, c'est Jim Carrey peut être son meilleur rôle comique 

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8 commentaires

  1. Une comédie délirante qui fait toujours son petit effet aujourd'hui.

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    1. Un film qui ne change pas, surprenant et frais, je ne m'en lasse toujours pas moi aussi

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  2. Le film a quand même un sacré coup dans la gueule à l'image de votre interlocuteur qui lui aussi accuse 18 printemps!lol Notamment dans la musique et certains effets visuels. Mais pour ce qui est de la dinguerie, c'est un vrai festival! Entre les effets sur les faciés et les gags quelle pignolade! Une assemblée de scènes cultes tels que la première utilisation ("la rubrique des chiens écrasés haahaha!", "approchez approchez personne n'aime les loubards effarouchés! (...) et voilà un petit caniche! Allez dégage tu me pompe l'air (...) et voilà ma spécialité: la suffateuse!"), la danse dans le club ("Sers moi fort Johnny tu est mon dernier rayon de soleil! Dis au petit Johnny qu'il ne reverra pas son papa pour Noël! Prout! Oh pardon! Dis à Scarlett que c'est le cadet de mes soucis!"), le square ("Chao Bella mais me voilà je suis venir te dire que tu me plaîs et je vais te chanter à la calzone oh solé mio catarina catarina chichi ha ha!" "Je suis Sancho le cubain, la coqueluche de tous les voisins et tu chanteras le chik chiky boom, chik chiky boom, chik chiky boom!") ou le coup final ("piquante ces petites merguez!"). Jim Carrey est dans une forme de première mais je préfère davantage Ace Ventura.

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    1. Personnellement cela ne me choque pas, le film garde un ensemble homogène malgré le temps qui passe, mais c'est vrai qu'on a pas assez d'une main pour compter toutes les scènes cultes. Jim Carrey est super dans ce film, aussi dans ace ventura mais je ne suis pas trop fan du personnage, tu oublie une mme diaz plus sexy que jamais

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  3. Franchement je trouve qu'il a pris un coup de vieux de par certains raccords douteux (le mec qui est d'un côté puis d'un autre entre deux nuages, le dresseur qui apparaît clairement au lieu de l'acteur!) et certains aspects. Mais ça ne m'empêche pas d'apprécier ce cru. Et puis sinon je ne m'amuserais pas à ressortir toutes ces répliques cultes. Miss Diaz avait en effet de sacrés arguments au niveau du décolleté. Le genre qu'on oublie pas!lol

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    1. Faut dire que cela fait un petit moment que je ne l'ai pas vu, mais certain de la meme époque on encore plus vieillis que The Mask, mais je te dirai quand je le reverrais

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  4. C'est clair que certains très mauvais films s'avèrent encore plus vieillissants que The Mask, voire restent indébilement ancré dans les 90's. On citera volontiers Mortal Kombat, Super Mario Bros, The shadow (sorti la même année il me semble) ou encore L'effaceur.

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    1. Super Mario que c'était drôle :D Et entièrement d'accord avec toi, d'ailleurs l'Effaceur c'est de Russel aussi

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