Critique:

Depuis quelque film, force est de constater que notre ami Tim Burton a semble t'il perdu de sa superbe, taillé ou presque dans tout les sens après «Alice aux Pays des Merveilles» (En DVD est toujours pas vu), il était attendu au tournant. Pour ma part n'étant pas un inconditionnel de Burton, je suis allez en salle serein, pour découvrir son dernier film, intitulé « Dark Shadows ». 

A Liverpool il y a de cela longtemps, vint au monde le petit Barnabas Collins, heureux élevé par ds parents aise, ils partirent a la conquête du nouveau monde. Arrivé sur place, la famille Collins prospéra dans le commerce de la pèche, mais dans leur bagage existait une jeune fille du nom d'Angelique, belle mais dangereuse car c'était une sorcière. Barnabas devenus grand, il fit tourné des têtes, dont celle d'Angelique, mais il ne l'aimait pas, son cœur était pour quelqu'un d'autre. Animé d'une rage sans nom, Angélique tua la bien aimée de Barnabas, puis pour le punir le transforma en Vampire et l'enferma dans un cercueil. Bien des années plus tard, on retrouva le cercueil de Barnabas, toujours en vie, a la recherche des siens, ainsi qu'une énorme soif de connaissance pour les années 70.

Au final Tim Burton est toujours la, on le reconnaît des le début la patte de l'artiste, une esthétique travaillé, dans des tons pastels, des couleurs froides, un vrai travail sur les décors, l'ambiance noire a souhait que ce soit en 1752 qu'en 1972, le coté visuel du film est bien soigné. Le scénario concocté pour le film, c'est ici que ce situe ses lacunes, car d'un coté on trouve tout cet humour noir, caustique, accentué par ce choc des cultures entre Barnabas, son parlé du 18 eme siècle et le reste de sa famille, la relation amour/haine qui le lie a Angelique, Burton en profitant pour tourné une scène de sexe vraiment drôle, l'horreur du personnage de Barnabas; de l'autre le scénario n'avance pas réellement des que Barnabas sort de son cercueil, c'est mou du genoux, certains traits d'humour tombe a plat, l'histoire stagne, des personnages sont mis a l'écart, ce qui donne une impressions mitigé a la fin du film. Malgré ce défaut le film possède un début enchanteur en totale contraste avec une fin plus bestiale est réjouissante, la musique n'est pas déplaisant avec Alice Cooper en guest, ainsi que des acteurs ma foi fort sympathique.

Un casting chez Burton comprends des surprises comme on trouve aussi toujours les mêmes, l'immortel Johnny Depp revient chez Tim, un personnage qui lui vas bien, permettant d'être exubérant sans en rajouter, a la fois féroce et raffiné; la bizarre Helena Bonham Carter, femme et muse de Burton qui joue une docteur instable a l'appétit insatiable, un rôle taillé pour elle; Michelle Pfeiffer qui rejoue sous la houlette de Tim vingt ans après et sa lui réussis, magnifique, imposante, charismatique; celle qui m'a bluffé ces Eva Green que je n'aime pas d'habitude, mais la elle est hypnotisante, vénéneuse, fatale, j'en ai été scotché; Bella Heathcote joue une gouvernante sujette a voir des fantômes, distante et distraite; on trouve aussi l'une de mes chouchoutes de ces derniers temps avec la pétillante Chloé Moretz qui n'hésite jamais a ce mettre dans des personnages différents a chaque fois; dans le reste du casting on trouve Jackie Earle Haley en Jardinier shooté a l'alcool, moins violent que dans Watchmen; Jonny Lee Miller; Gully McGrath; Christopher Lee dans un savoureux caméo.